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Bob Faber et Michael Probst (Andersen Tax) : B.A Tax devient Andersen Tax

En optant pour une marque mythique, B.A Tax change de nom et affiche de nouvelles ambitions. Une interview de Bob Faber et Michael Probst.

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Pourquoi avez-vous choisi la marque Andersen Tax? 

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Michael Probst (MP) : Nous sommes une société de conseil fiscal reconnue ayant la compétence et la capacité de servir des clients privés et institutionnels exigeants. Cependant il est difficile d’atteindre la clientèle cible sous notre nom actuel. Nous capitalisons sur l’excellente réputation de B.A. Trust et sur la puissance de l’organisation Andersen Global et de la marque ‘Andersen’ pour afficher de nouvelles ambitions.

Bob Faber (BF) : J’ai travaillé pour Andersen à l’époque, et j’ai tout de suite été séduit lorsque nous avons été approchés pour devenir membre de Andersen Global au Luxembourg. En effet, et beaucoup de gens se rappellent, Andersen était parvenue à mettre en place une culture unique en son genre basée sur le partage de la connaissance et l’excellence. Le slogan “A name from the past. A firm for the future”, illustre parfaitement notre état d’esprit aujourd’hui et le nom Andersen Tax reflète la compétence de notre équipe, forte de plusieurs collaborateurs ayant plus de 20 ans d’expérience. Nous rentrons de Chicago où nous avons assisté à un ‘Partner/Manager meeting’. Nous n’étions pas loin de 1000 personnes ! Notre groupe vient d’ailleurs d’acquérir une autre firme pour renforcer la dynamique positive qui nous anime.

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"Nous capitalisons sur l’excellente réputation de B.A. Trust et sur la puissance de l’organisation Andersen Global et de la marque ‘Andersen’ pour afficher de nouvelles ambitions."

 

Comment évoluent les besoins des personnes qui vous contactent ?

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MP : L’environnement fiscal est depuis un moment en développement vers le respect des règles BEPS. Au niveau international disparaissent par conséquent beaucoup de sociétés holdings et de financement. Cependant, d’un côté le Luxembourg bénéficie d’un portefeuille de fonds d’investissements alternatifs impressionnant et toujours en croissance. De l’autre côté, les institutionnels déjà présents dans le pays, souvent élargissent leur substance économique face aux règles précitées. Ces 2 types de clients requièrent un conseil fiscal et de structuration approfondi. A préciser qu’une partie majeure de ce développement proviendra des fonds alternatifs Private Equity et Real Estate.


BF : Nous anticipons un afflux d’investisseurs étrangers via Andersen Global. Il est à remarquer que l’effectif est passé de 1500 à plus que 3000 personnes en moins d’une année ! Andersen a redémarré aux Etats-Unis par le biais d’anciens associés qui disposent d’un relationnel impressionnant dans le monde de l’industrie et de la finance. Un important effort a également été réalisé en Amérique Latine, où Andersen devrait devenir leader en Tax & Legal d’ici la fin de l’année. Andersen souhaite créer une grande organisation Tax & Legal de type « one firm » au service de ses clients partout dans le monde. A Luxembourg, un bout de chemin reste à faire.

 

Quels risque et opportunités identifiez-vous ?

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BF: Nous pouvons aujourd’hui saisir une opportunité unique. Il va de soi que cela nécessite de recruter et de former de nouveaux collaborateurs dans un temps record. Je pense à la formation technique, mais aussi à la mise en place d’une forte culture.

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MP : Nous devons faire fonctionner notre brand à deux niveaux : d’abord au niveau d’Andersen Global, où nous devons nous faire connaître et vanter les avantages de Luxembourg. Ensuite au niveau du marché local avec Andersen Tax Luxembourg, où nous multiplions les efforts pour renforcer nos liens avec nos clients existants, tout en allant à la rencontre d’une nouvelle clientèle attirée par la force de notre nouvelle marque, par notre indépendance – nous ne faisons pas d’audit - et par le déploiement de nouveaux services.

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