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ALRiM : Un quart de siècle de promotion de la discipline du risque

À l'occasion du 25e anniversaire d'ALRiM, le fondateur Thierry Lopez, les anciens présidents Alain Bastien et Marco Zwick, et le président actuel Luc Neuberg discutent de l'évolution du risque par rapport à l'orientation initiale d'ALRiM, présentée par Michael Derwael, membre du conseil d'administration. Aujourd'hui, ses membres proviennent d'un éventail plus large de secteurs d'activité, offrant une approche globale des risques que ses membres cherchent à maîtriser.

 

Comment ALRiM a-t-elle évolué au cours du dernier quart de siècle ?

 

Lorsque l'Association luxembourgeoise de gestion des risques (ALRiM) a été fondée il y a 25 ans, elle se concentrait principalement sur les activités des gestionnaires de risques des banques et, plus tard, des fonds d'investissement. Ses membres étaient principalement des gestionnaires de risques. Depuis lors, des fonctions telles que les administrateurs, les travailleurs du front, du middle et du back office sont représentées par les membres, apportant des perspectives et des préoccupations différentes aux discussions. Et cela ne cesse d'évoluer !

 

Chaque année, ALRiM a le plaisir d'accueillir la présentation du Global Risk Report du Forum économique mondial (WEF) : les récentes présentations ont illustré l'élargissement du champ des risques.

 

Ainsi, aujourd'hui, ALRiM considère que son mandat englobe également de nouvelles préoccupations telles que les risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), ainsi que les cyber-risques qui ont un impact sur tous les acteurs de la société et de l'économie. Le champ d'action d'ALRiM est donc plus large que les seuls risques financiers et représente les préoccupations et la perspective de ses membres.

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"ALRiM comprend maintenant des membres du conseil d'administration et des personnes provenant d'un plus grand nombre de secteurs d'activité, ce qui reflète la généralisation de la gestion des risques en tant que composante clé de la gouvernance".

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Y a-t-il un thème unique qui a contribué à déterminer l'orientation d'ALRiM ?

 

La gestion des risques a dépassé le cadre du département de gestion des risques et est devenue essentielle dans chaque organisation, à tous les niveaux. La gestion des risques est devenue une partie intégrante de la gouvernance. Elle englobe un champ d'application beaucoup plus large que son ancienne focalisation sur les risques financiers.

ALRiM est devenu un acteur connu et reconnu de la place financière luxembourgeoise et sa mission principale est de promouvoir une culture de gestion des risques pour tous les acteurs de la place et pour tous les types d'entreprises.

 

Comment ALRiM cherche-t-elle à développer une prise de conscience de la nécessité de la gestion des risques ?

 

ALRiM promeut l'idée majeure que la gestion des risques n'est pas un centre de coûts mais une valeur ajoutée ; que ses membres cherchent à gérer les risques et non à les minimiser. En tant que président d'ALRiM, Luc Neuberg considérait que son mandat consistait à élargir le débat sur le risque au-delà des aspects purement financiers pour y inclure les risques sociétaux. ALRiM est un dépositaire centralisé de sources et d'informations mais fuit tout élitisme, cherchant à être ouvert à tous. ALRiM travaille avec de nombreuses associations, assiste à des conférences, notamment celles de l'Economist Club, de la LFMA et de l'ATEL ; elle co-organise et intervient dans des conférences importantes telles que l'ABBL pour les banques, l'Alfi pour les fonds, et le WEF pour toucher un public plus large. Un autre moyen extrêmement important pour ALRiM de promouvoir la gestion des risques est la formation à tous les niveaux, y compris la formation continue qui est un élément clé pour développer la culture.

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